Lors d’un voyage en Tunisie, impossible de passer à côté de Tunis
Auteur/autrice : Travellerio
Vacances d’hiver et dépaysement total à Flaine
Flaine fait partie des meilleures destinations pour les vacances au ski et ce titre est bien mérité. Flaine, avec sa zone piétonne, s’intègre parfaitement à la nature et au paysage pittoresque de la Haute-Savoie. Sécurisée et calme, cette station de sport d’hiver est parfaitement indiquée pour se ressourcer, le temps d’une escapade en famille, en couple ou entre amis. Toujours dans le centre piétonnier, on trouve sans difficulté un hôtel à Flaine pour profiter du confort et de cette douce tranquillité, parfaite après une longue journée passée à glisser. Avec ses infrastructures, Flaine promet des vacances bien remplies, surtout que le domaine s’évertue à apporter des nouveautés à chaque nouvelle saison. Dans tous les cas, il est certain que Flaine promet une belle montée d’adrénaline avec ses 140 kilomètres de pistes et son espace dédié au frestyle et au freeride.
Séjour d’hiver à Megève dans un cadre naturel exceptionnel
Megève, situé en Haute-Savoie, est agréablement situé au cœur des montagnes tapis de forêts qui se parent d’un beau manteau blanc en hiver. Ce cadre exceptionnel fait déjà de Megève une destination indétrônable pour les vacances à la neige. On ne mentionnera plus la possibilité de loger dans un hôtel au ski de type chalet montagnard pour créer une ambiance grand nord. Megève est une destination dédiée à tous, aux skieurs émérites comme à ceux qui viennent pour leur premier pas dans la neige. D’ailleurs, la station possède une école de ski pour accompagner les débutants, petits et grands. Au cœur de cette nature préservée sont installées des pistes totalisant 445 kilomètres incluant tous les niveau de difficulté. Pour les esprits libres et ceux qui sont en quête de sensation forte, place au ski de fond, au freestyle, etc. Après une journée bien remplie, l’hôtel à Megève propose non seulement un lit douillet pour se reposer mais aussi de bons petits plats traditionnels pour se requinquer.
Vacances d’hiver à la Clusaz : une belle palette d’installations pour un séjour bien rempli
Pour les vacances d’hiver, la Clusaz fait aussi partie des meilleures destinations. Sans compter la beauté de son paysage, cette station de sport d’hiver séduit particulièrement par son infrastructure de loisir et touristique. Hôtel à la Clusaz et autres établissements d’accueil promettent des vacances confortables et reposantes. Les diverses installations sportives garantissent par ailleurs des vacances bien remplies. Est mis à disposition des villégiateurs, un domaine qui s’étend sur 4 massifs, totalisant 84 pistes incluant tous les niveaux de difficulté. Il est aussi possible de pratiquer le ski de fond à la Clusaz. Cette dernière possède également une patinoire et un snowpark qui attend ceux qui veulent tenter de nouvelles figures. Pour les activités, à part le ski, on a le choix entre la luge et le snowboard, mais aussi la randonnée en raquette pour découvrir le village et sa culture.
Nous en profitons pour vous faire découvrir le blog de voyage envies-de-voyage.com, en espérant que celui-ci vous plaise !
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Les premiers pas à la neige
Les enfants ne sont pas les seuls à faire leur premiers pas dans la neige. De nombreux adultes ne savent pas non plus skier et prennent des cours durant les vacances au ski. On peut, dans cette perspective, passer des diplômes d’aptitudes au ski. La plupart des stations, en France comme ailleurs, disposent d’une ou de plusieurs écoles de ski (L’ESF par exemple). Ces dernières dispensent des cours aux enfants mais aussi aux adultes. Lors d’un séjour au ski à la Clusaz par exemple, les adultes débutants peuvent s’initier au ski de loisir en apprenant les techniques de base de la glisse. Pour les grands débutants, on s’habitue d’abord à ses équipements avant de commencer la glisse à proprement parler comme le chasse-neige. A la fin d’une session, on passe un test et obtient un diplôme d’aptitude au ski si on s’en sort avec brio.
De l’apprentissage au perfectionnement
Durant les vacances à la neige, à la Clusaz, aux Menuires ou encore dans les Deux Alpes, il serait dommage de rater la glisse sur les pistes, bien que d’autres activités soient disponibles dans les stations de sport d’hiver. Ceux qui ne savent pas skier peuvent s’inscrire dans les écoles de ski pour s’initier aux arcanes de ce sport passionnant, et recevoir ensuite son diplôme d’aptitude au ski si bien sur, on réussi son test d’aptitude. Les cours dans les écoles de ski ne sont pas uniquement réservés aux grands débutants mais s’adressent aussi aux skieurs qui veulent se perfectionner, et ce, quelle que soit la discipline : ski de fond, ski alpin, snowboard, etc. Dans tous les cas, tous les cours sont disponibles en plusieurs formules. On peut opter pour des cours particuliers ou des cours collectifs qui s’adresse à ceux à dont le dynamique de groupe permet de mieux apprendre.
Gros plan sur les tests des adultes
Au cours d’un voyage au ski, en entrant dans une école de ski, chaque apprenti commence à un certain niveau et suivent les cours adéquats. En fonction de son emploi du temps, on peut choisir d’apprendre à l’heure ou à la journée. Dans tous les cas, à la fin d’une session, chaque apprenti est soumis à des tests, toujours en fonction de son niveau. Ces examens servent bien évidemment à voir la progression mais aussi à reconnaître les compétences. Pour les adultes débutants par exemple, on réussi son test de premier niveau si on arrive à effectuer la chasse-neige glissé et freiné, si on réussi les pas tournants et les pas patineur sur différentes pistes dont la pente douce. Le niveau suivant exige de connaître les techniques suivantes : pas de patineur avec bâtons, pas glissé et pas de un, virage élémentaires. Le troisième niveau apprend à effectuer les pas de patineur deux temps et combiné, les alternatifs à plat et les enchaînements de virage. Pour avoir son diplôme, il faut donc réussir ces épreuves.
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Un voyage à l’étranger offre toujours un dépaysement total, et ce, sur tous les points, y compris au niveau de la langue. Mais lors d’un séjour au Sénégal, à priori, la barrière des langues ne se pose pas car le français est la langue officielle du pays. En creusant un peu sur la question des langues parlées au Sénégal, on se rend compte que le français est la langue de l’administration, de l’enseignement et du monde des affaires y compris le tourisme. Dans les établissements hôteliers, on n’aura aucun problème de communication. Il en est de même dans les grandes villes même si le degré de connaissance de cette langue varie largement d’un individu à un autre. Dans les stations balnéaires très touristiques comme Saly ou Cap Skirring, qui soit dit en passant ont valu au Sénégal le surnom de Californie africaine, le français est largement pratiqué. Dans les zones rurales, la situation est tout autre. Là, on aura besoin de connaître une des langues locales : le Wolof.
Le Wolof, nécessaire pour les circuits hors des sentiers battus
Le long des circuits touristiques traditionnels au Sénégal, comme la plage des Almadies ou la Grande Mosquée à Dakar, la ville ou le parc national de la Langue de Barbarie à Saint-Louis, Nioro du Rip et ses mégalithes à Siné-Saloum, la Casamance et son marché artisanal, la langue française est largement pratiquée. Pour ceux qui suivent des circuits hors des sentiers battus, des circuits tracés pour découvrir le Sénégal profond avec une culture authentique et des traditions précieusement gardées, il est nécessaire de connaître une des quelques 15 dialectes parlées au pays. Le Wolof est le plus pratiqué. 80% des sénégalais parlent cette langue. On peut très bien découvrir le pays avec un guide pour endiguer la barrière des langues, mais on peut aussi s’en passer et apprendre quelques expressions usuelles pour les vacances.
Mots et expressions usuelles en Wolof pour son séjour au Sénégal
Voyager au Sénégal c’est découvrir une mosaïque de paysage, une richesse culturelle qu’on découvre entre autres à travers le métissage de la langue. Un exemple : à part la pratique pure du Wolof, certains mots de cette langue sont intégrés dans les phrases en français. Pour marquer l’effarement ou l’étonnement, les sénégalais mettent à la fin d’une phrase le mot chetetet. En s’exprimant de cette manière, on dénote une certaine familiarité, une attitude qui ne manque pas de faire plaisir aux autochtones. Pour ce qui est des expressions usuelles en Wolof, on dira salamaleikum pour bonjour, Na nga def pour demander à une personne comment elle va, jërëjëf pour merci. A la fin des vacances, on est souvent tenté par les produits artisanaux. Le shopping est donc inévitable et voici quelques phrases à savoir. Pour demander le prix en Wolof, on dira Ñata lay jar ? Si on trouve que c’est trop cher, on le fera savoir en disant Bare na !
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Les crop circles ont défrayé la chronique durant des décennies en demeurant un des plus grands mystères après le monstre du Loch Ness. Mais comme beaucoup d’histoires attribuées à des événements surnaturels ou extra-terrestres, il ne s’agissait que d’un canular mais la pratique de crop circles continue parfois pour des créations relevant du mouvement artistique Land Art ou encore celui de la simple expérimentation plastique.
En revanche, dessiner dans les champs de blés est peut-être dépassé et il faut maintenant se mettre au goût du jour avec les Snow Circles.
Le Snow Art
Muni de ses raquettes et d’une paire de bâtons de ski, Simon Beck parcourt la neige fraiche afin de tracer ses motifs. L’exploit est d’autant plus impressionnant qu’il s’agit de dessiner des formes gigantesques sans voir ce qu’ils donnent. Il suffit d’un peu de méthode, de beaucoup de patience, et surtout d’une très bonne condition physique.
Mais Simon Beck n’est pas le seul à avoir eu cette bonne et frileuse idée. Sonja Hinrichsen produit elle aussi dès 2009 des motifs dans la neige du Colorado tandis que Simon Beck réalisé une partie de ses motifs près des stations de ski en France. On ne peut alors que s’émerveiller devant cette présentation vidéo de son travail.
Snow Circles from Beauregard, Steamboat Aerials on Vimeo
Alors pendant vos vacances aux sports d’hiver, chaussez-vous bien et habillez-vous chaudement ! Il faut se lever tôt pour être capable de dessiner d’aussi grandes figures. Mettez-vous y à plusieurs mais à condition d’être capable de travailler efficacement et précisément en équipe afin de ne pas rater votre motif.
Notre conseil sera de tracer sur une feuille quadrillée votre projet pour ensuite le reporter physiquement dans la neige grâce à des repères plantés au sol. Et s’il s’agit de neige poudreuse et fraîche, vous n’aurez qu’à balayer un peu pour effacer les traces ne faisant pas partie du dessin !
Pour les suspicieux
Les réalisations de Snow Circles sont évidemment réalisées par des Terriens. Pour les déçus, d’autres dessins vus du Ciel ont une origine qui demeure très mystérieuse. En effet, bien que les Britanniques Doug Bower et Dave Chorley aient revendiqué la création des Corp Circles des années 70, d’autres théories existent. En effet, les dessins réguliers et géométriques peuvent être la cause de phénomènes météorologiques rares tels que la foudre globulaire ou encore des tourbillons. Néanmoins, il ne faut pas oublier que le ministère de la Défense britannique a sérieusement envisagé l’origine extra-terrestre comme ne témoigne ce croquis de leurs archives nationales.
Autre phénomène du même gabarit, les géolyphes de Nazca au Pérou sont encore sujets à débat. Ce sont des figures tracées dans le sol et représentant dans la majorité des cas des animaux. Leur apparition est estimée entre 300 et 800 av. J.-C. et ces œuvres sont inscrits depuis 1994 sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Contrairement aux dessins dans la neige ou dans les champs, les lignes de Nazca perdurent dans le temps et nous survivront très certainement.
Leur création peut avoir été réalisée avec des méthodes géométriques relativement simples, c’est leurs fonctions qui demeurent un mystère. Tandis que les plus rationnels optent pour une visée rituelle ou calendaire, d’autres pensent plutôt qu’il s’agit de dessin tracés dans le but d’être des pistes d’atterrissage pour des vaisseaux spatiaux !